Alistair Newton

• Nom, Prénom: Newton Alistair Rebecca, Daphné.
  
  
• Age, Date de Naissance: 18 ans, née le 14 février
  
  
• Sexe:Féminin
  
  
  
• Origine géographique, sociale: Elle est anglaise: l’exemple typique de la petite poupée de porcelaine anglaise: sa famille est assez riche pour acheter l’état de New York…
  
  
  
• Caractère: Caractère très ambiguë, et très difficile à décrire. Pourquoi? Parce que Ali est une jeune fille tout a fait paradoxale. Elle fera la plupart du temps le contraire de ce qu’elle a envie de faire, et seras incapable de dire ce qu’elle pense, comme si sa parole déformait sa pensée. Vraiment. Elle n’est pourtant possédée par aucun esprit ou truc de ce genre, c’est tout simplement sa nature depuis des années.
  Elle n’est pas vraiment douée en cours, du moins, ne se donne pas les moyens. Bosser, c’est pas son truc. A quoi bon faire ses devoirs quand quelqu’un peut les faire à votre place?
  WhAt YoU sEe: Fille populaire par excellence, elle a prit l’habitude d’être entourée d’une « cour » de prétendant et de pseudos amis. Pseudo, car aucun d’entre eux n’a jamais cherché à vraiment savoir ce qui se cachait sous cette couche de superficialité. C’était toujours elle qui sortait avec les plus beaux garçons, et elle qui faisait les plus belles fêtes. L’argent ne fait pas le bonheur, mais il y aide, du moins, en apparence. Elle aurait pu être la reine des cheerleaders, mais elle est beaucoup trop hautaine pour s’abaisser à acclamer une vulgaire équipe sportive. D’ailleurs, c’est elle qu’on acclame. . Si elle veut quelque chose, elle le dit. Si elle n’aime pas quelqu’un, elle le dit aussi. Elle est toujours passée pour une vipère, mais une riche vipère, de celle qu’on n’embête pas facilement. Elle a détruit nombre de personne, elle ne lançait pas des ragots, non… Ses sbires s’en chargeaient. A croire qu’elle était la reine du mal. Non… Mais elle s’amusait à le penser, car il fallait bien qu’elle trouve une façon de s’amuser, non? Lorsqu’on a tout, autant trouver des divertissements plus… Intéressants…
  
  WhO iS rEaLLy ShE? Elle n’en sait rien. Elle ne s’est pas découverte, et est tellement omnibulée par les apparences qu’elle ne risque pas de se découvrir si on ne lui donne pas un coup de pouce. Sans doute s’est-elle forgée une personnalité en apparaissant comme « It Girl » toute sa vie. Mais qui se doute qu’elle pleure dès qu’elle rentre chez elle, seule dans sa chambre, parce qu’il n’y a personne qui l’attend à qui elle pourrait raconter sa journée? Ou qu’elle adore le dessin, et qu’elle a d’ailleurs un don assez étonnant dans ce domaine, peignant durant de longues heures ce dont elle rêve et que l’argent ne peut pas acheter? Elle est donc très solitaire, puisque personne ne peut supporter l’image qu’elle donne.
  
  
  
• Physique: De taille moyenne, environ un mètre soixante dix, pour un poids modique, la jeune fille est blonde aux cheveux bouclés assez long. Le visage plutôt rond, elle a de très beaux yeux clairs, d’un ocre tirant sur le vert. Ou bleu. Bref, il est assez difficile de décrire la couleur de ses yeux. Un sourire qui se veut la plupart du temps moqueur ou méprisant, mais qui s’avère être très charmeur lorsqu’il est sincère, ce qui arrive très rarement, la jeune fille passant plus de temps à chercher comment détruire une personne que comment lui faire plaisir.
  La taille fine, de longues jambes complètent ce portrait. Elle prend également toujours soin d’être impeccable. Ongles parfaitement manucurés, peau parfaitement maquillée, elle est digne de sortir d’un magasine de mode. Poupée de porcelaine, on l’avait dit, impeccable jusqu’au bout des ongles, ou peut-être, entre son index et son majeur gauche on peut déceler la marque due à une consommation effrénée de cigarettes depuis plus de trois ans. Gauche, oui, parce que la demoiselle est gauchère.
  
  
  
• Style Vestimentaire: Elle est toujours vêtue à la pointe de la mode. Elle sait qu’elle a un physique parfait, et le laisse savoir. Mini jupes, robes, jeans, talons hauts, elle met très rarement des vêtements foncés, et encore moins des fringues ayant coûtés moins de 100 dollars pièce. Et c’est un minimum.
  Elle ne supporte pas tout ce qui est large, informe, et ne porte que les plus grandes griffes, faisant honneur à la taille de son porte monnaie. Oh, j’oubliais, sa couleur favorite est le rose.
  
  
  
• Histoire:
  ♫ Nobody likes you
  
  C’est l’histoire d’une petite fille, de nature tout à fait… Ordinaire, voire renfermée. Elle grandit dans un château, dans la campagne galloise, au royaume uni, de père et mère Anglais, Mr and Mrs Newton. Le premier est un châtelain renommé. Jeune, beau, intelligent, il a fait ses études à Oxford, en est ressortit diplômé de sciences politique, et se destine à une carrière d’ambassadeur en Angleterre.
  La seconde est riche, elle aussi. Riche à Million, jolie, oui, elle le sait. Elle rencontre le premier lors d’un gala. Ils se plaisent immédiatement, tout deux ayant le même goût pour l’argent et le pouvoir. Les qualités humaines? Qu’importe, l’homme est déjà tombé amoureux dans sa jeunesse. Une fille des îles. Il voulait même l’épouser mais… ça ne se fait pas dans ce milieu. On épouse que des gens issus du même rang que vous.
  Cinq ans plus tard. Déjà? Oui. Le temps passe vite, lorsqu’on ne se voit jamais. Lassée d’organiser des galas, la première décide d’avoir un enfant. Toutes ses amies en ont. Le second est réticent, à quoi bon, puisqu’elle va s’en lasser comme elle se lasse de tout? « Je veux un garçon. Il deviendra ton héritier, et la fierté de la famille. »
  Pas de chances, c’est une fille. Ainsi naquis Alistair. Et comme l’avait prédit son père, au bout d’une semaine, elle se lassa des pleurs de la petite fille, et la confia à une nourrice.
  Pas désirée, la petite? Seul son père venait la voir; le soir, tentant de lui raconter des histoires. Mais la présence étouffante de son épouse l’empêche de faire plus. « Tu l’aimes plus que moi, n’est ce pas? »
  

♪ Everyone left you

Elle a maintenant dix ans. Les parents sont de plus en plus absents, et elle est élevée par une dizaine de nourrices différentes. Ces dames ne restent jamais bien longtemps à son service, ne supportant pas une fille aussi capricieuse qu’Ali. Elle pique des colères immenses, et malgré la réputation des nurses anglaises, aucune ne parvient à rester plus d’une semaine. Dans un énième caprice elle demande à ses parents (au téléphone), de la laisser s’occuper seule d’elle-même. Bien sur, il restera toujours les bonnes et majordomes pour la surveiller, de toutes manières.
Elle entre dans une phase d’enfermement, se mettant au dessin, et ne parlant pas ou très peu, comme à la découverte d’elle-même. Alistair se sent de plus en plus seul, l’affection parentale se faisant désirer, elle commence à cultiver un caractère secret, distant, avec les autres.

Lors des rares fois où ses parents sont présents à la maison, sa mère la force à se rendre aux réceptions qu’elle donne. « Tu diras que tu as treize ans » « J’en ai seize maman » « Tu ne veux tout de même pas que je passe pour une vieille peau à cause de toi! ».




Quinze ans, la jeune fille quitte le pensionnat pour se rendre au lycée. Elle arrive aux USA, son père ayant enfin obtenu la place qu’il convoitait tant. Finies les écoles pour filles pleines de boutons aux conversations barbantes à souhait, et aux centres d’intérêts aussi passionnant que le sujet du prochain devoir de philo…
A peine arrivée en Californie, la jeune fille est entourée de toute une bande dont elle est à la tête. Charismatique, oui, mais ça éveille aussi son petit coté tyran resté enfermé depuis les années primaires. Nombreux sont ceux qui la détestent, d’ailleurs… Mais après tout, qui s’en soucie? Le principal est d’être aimée, ou du moins entourée.

Les trois années passent et elle obtient son diplôme, après quelques cours de dernière minute. Elle déteste travailler, mais n’a pas le choix, et voici qu’à présent, elle entre à l’université, qui n’est ni Harvard, ni Brown. Le pire? C’est que tout ses « sous-fifres » n’ont pas réussi à passer, ou sont entrés dans une autre fac, et les seuls qu’elle connaît, hé bien… Ils ne l’apprécient pas beaucoup. Dommage, l’année qui s’annonce va vraiment être ardue.

• Famille: La famille d’Alistair est du genre insignifiante. Vraiment. Du moins pour elle, et à son grand dam. Père: Absent. Mère: pareil. Elle est fille unique, tendit qu‘elle aurait voulu une ribambelle de petits frères et sœurs pour lui tenir compagnie, mais évidemment, c‘est hors de question: un famille anglaise digne de ce nom se doit d‘avoir un enfant. Et encore, apparemment, c‘est déjà trop, puisqu‘ils sont incapables de s‘occuper de leurs fille, le premier étant toujours aux quatre coins du monde dans des conférences diverses, et la seconde étant quand à elle beaucoup trop occupée à dépenser la fortune de son mari. L‘amour? Qu‘est ce donc? C‘est à peine si ils se souviennent qu‘ils ont une fille, lorsqu‘il lui envoient un chèque à son anniversaire, deux mois en retard, souvent, ou qu‘ils lui tapotent d‘un air compatissant sur le crâne lorsqu‘elle tente d‘aborder une discussion. Que voulez vous, les enfants sont tellement barbants quand ils grandissent!
  

[Désolé; j’ai changé de prénom en cours lol]

Voila la parfaite opposee de Claire ! Ca va etre drole...

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